Parigos, têtes de veaux...
Cette semaine a été riche en enseignements : constatant qu'une poubelle ne suffisait pas à contenir les ordures ménagères de notre famille, je m'en suis allée en réclamer une deuxième à la mairie.
Là, effarée, la dame me dit : "mais, il faut faire le tri Madame..."
Moi : "Ben oui, faire le tri... mais, je n'ai qu'une poubelle"
La dame : "Mais faut aller aux containers Madame... Vous savez, ceux qui sont à côté de la Superette"
C'est bête mais ça m'a soufflée... N'empêche que c'est une sacrée organisation parce qu'en plus, il faut aller à la déchetterie pour l'herbe, les cartons et tout le bazar qui s'accumule dans la grange.
Autre surprise : le livreur. Quand on n'est pas là, à Paris, le livreur laisse un mot et parfois même, alors qu'on est chez soi, le livreur laisse quand même un mot. Forcément, c'est moins fatiguant que de descendre le carton de la camionette. Ici, quand on n'est pas là, le livreur pousse la porte du portail, entre dans le jardin, contourne la maison, dépose le paquet devant la porte de derrière, passe un coup de fil et laisse un message sur le portable. Epatant.